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Vincent Humbert
04/12/2007 22:18
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Au lendemain de la diffusion du téléfilm "Marie Humbert, l'amour d'une mère", la maman de Vincent Humbert a écrit au président de la République pour lui demander une entrevue. Elle souhaite le convaincre de la nécessité d'aboutir à une légalisation encadrée de l'euthanasie. Marie Humbert a reçu de nombreux témoignages de sympathie de personnes ayant été touchées par le téléfilm...
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Le téléfilm sur l'affaire Humbert passera le 3 décembre à 20 h 50, sur TF1. Il retrace l'histoire de Vincent Humbert, grièvement accidenté et acheminé à l'hôpital à Berck, et de sa maman, Marie, qui a longtemps lutté afin qu'on puisse mettre fin aux souffrances de son fils.
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Marie Humbert, l'amour d'une mère sera diffusé le lundi 3 décembre à 20 h 50. Ce téléfilm est réalisé par Marc Angelo et est interprété par Florence Pernel (Marie Humbert) et Edouard Collin (Vincent Humbert). Il revient sur l'histoire vraie de Vincent, jeune tétraplégique euthanasié à sa demande en septembre 2003 et a [...]
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Le lundi 3 décembre, à 20h50, TF1 diffusera Marie Humbert, un téléfilm événement produit par Christophe Dechavanne, Caroline Hertman et Fabrice Bonanno, issu des ouvrages de Vincent Humbert, « Je vous demande le droit de mourir », et du docteur Docteur Frédéric Chaussoy « Je ne suis pas un assassin » . En novembre 2002, Vincent Humbert, devenu muet, aveugle et tétraplégique...
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TF1 diffusera lundi 3 décembre à 20h50 « Marie Humbert : l'amour d'une mère », film basé sur des faits réels. En novembre 2002, Vincent Humbert, devenu muet, aveugle et tétraplégique après un accident de la route, demande le droit de mourir au président de la République. Il le lui refuse ; Vincent compte alors sur sa mère,... (suite de cet article sur http://www.coulisses-tv.fr)...
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COYOTE - Commentaires - 22/10/2007
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Vincent et Marie Humbert ont eu un Courage que beaucoup ne pourront comprendre. Hospitalisée à cette époque à Berck, je passais devant la chambre de Vincent tous les jours et je peux vous affirmer que dans ce service des Vincent il y en a, mais seule Marie accompagnée du Docteur a osé accéder à la demande de son fils, de sa chair, c'est-à-dire abréger ses souffrances. Il...
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... au suicide médicalement assisté. En 2003, l'ADMD avait participé à la médiatisation de l'affaire Vincent Humbert. Disposant d'un budget d'un million d'euros - assuré uniquement par les cotisations de ses membres - l'ADMD compte une centaine de délégations et sept salariés. "L'association a grossi très vite et M me Leguay centralisait tout" , constate M. Romero. "Elle était aux manettes...
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... au suicide médicalement assisté. En 2003, l'ADMD avait participé à la médiatisation de l'affaire Vincent Humbert. Disposant d'un budget d'un million d'euros - assuré uniquement par les cotisations de ses membres - l'ADMD compte une centaine de délégations et sept salariés. "L'association a grossi très vite et Mme Leguay centralisait tout", constate M. Romero. "Elle était aux manettes...
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En Bref La Une diffusera « Marie Humbert, l'amour d'une mère » le lundi 3 décembre à 20 h 50. Ce téléfilm est réalisé par Marc Angelo et est interprété par Florence Pernel (Marie Humbert) et Edouard Collin (Vincent Humbert). Il revient sur l'histoire vraie de... Publié le 15.11.07
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COYOTE - Commentaires - 17/11/2007
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je me joints aussi à vous afin de vous dire que moi aussi je suis pour mourir dans la dignité et avant tout pour le choix personnel du malade, car cela peut nous arriver à tous demain personne n'est à l'abri et j'espère qu'un de mes proches n'aura pas à faire face à ce vide de la justice auquel a été confronté mme humbert Mme humbert a eu un courage immense pour donner la liberté à son fils par rapport...
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"Marie Humbert", le 3 décembre sur TF1Le téléfilm Marie Humbert sera diffusé le 3 décembre en première partie de soirée sur TF1. En 2002, Vincent Humbert, muet, aveugle et tétraplégique à la suite d'un accident de la route, demande à sa mère Marie de l'aider à mourir.Produit par Christophe Dechavanne, Caroline Hertman et Fabrice Bonanno, le téléfilm est tiré des livres Je...
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DIRE - Bloc Note de France JEAN - 26/10/2007
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Dans le courrier international du 25 octobre 2007 on retrouve l'enquête canadienne apparaissant dans ce bloc-notes le 18 octobre et en plus ces quelques lignes : « Marie de Hennezel dans son dernier ouvrage, Le Souci de l'autre, souligne les défaillances, voire l'ignorance, des soignants en matière d'accompagnement en fin de vie. L'association « Faut qu'on s'active ! » plaide avec Marie Humbert...
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EUTHANASIE
04/12/2007 22:15
Nouveau témoignage sur la mort de Vincent Humbert
NOUVELOBS.COM | 29.11.2007 | 10:56
Quelques jours avant la diffusion d'un téléfilm sur la mort du jeune homme, avec l'aide de sa mère, son ancien kinésithérapeute, soutenu par une association catholique anti-euthanasie, affirme qu'il ne voulait pas mourir.

Vincent Humbert
Un DVD assorti d'une lettre témoignage de l'ancien kinésithérapeute de Vincent Humbert devrait être envoyé ces jours-ci à de nombreux médias et hommes politiques, indique Le Parisien jeudi 29 novembre. Hervé Messager, qui s'est occupé du jeune homme mort le 24 septembre 2003 avec l'aide de sa mère, affirme que Vincent Humbert "n'avait pas envie de mourir". Il contredit la version de Marie Humbert, refusant de reconnaître la tétraplégie attribuée au jeune homme et qualifiant sa maladie de "double hémiplégie", qui entraîne des troubles neuropsychologiques" et un "raisonnement perturbé". Ce qui implique, selon le kinésithérapeute, les propos du jeune homme sur son envie d'en finir. DVD financé par une association catholique anti-euthanasie Le DVD de témoignage d'Hervé Messager a été financé par l'association SOS Fin de vie, une association catholique militante contre l'euthanasie, et il est envoyé quelques jours avant la diffusion, lundi sur TF1, d'un téléfilm consacré à l'histoire de Vincent et Marie Humbert. Ce qui fait dire à Marie Humbert, qui répond point par point aux accusations d'Hervé Messager: "Certains ont peur du film qui sera diffusé lundi. C'est pour cela qu'ils montent au créneau". Hervé Messager justifie son silence jusqu'à présent en indiquant que "depuis 2003, (il) a essayé de parler, d'écrire à droite à gauche dans les journaux locaux, mais (il) n'était pas entendu". La mort de Vincent Humbert avec l'aide de sa mère avait été l'occasion de relancer le débat sur l'euthanasie. Sa mère, qui a reconnu lui avoir administré une dose de barbituriques, a bénéficié d'un non-lieu. Vincent Humbert avait adressé en 2002 une lettre au président de la République lui demandant "le droit de mourir".
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Humbert: Le kiné relance l'affaire
04/12/2007 22:11
Dans les colonnes du Parisien, le kinésithérapeute de Vincent Humbert affirme que le jeune tétraplégique, euthanasié par sa mère il y a quatre ans, n'avait "pas envie de mourir". "On l'a forcé", explique-t-il dans un DVD envoyé aux médias, aux élus et à Nicolas Sarkozy. Un DVD financé par une association catholique militant contre l'euthanasie.
"Profondément, je ne crois pas qu'il avait envie de mourir. On l'a forcé." Dans les colonnes du Parisien, le kinésithérapeute de Vincent Humbert, Hervé Messager, confie ses doutes, quatre ans après la mort par euthanasie du jeune tétraplégique.
Celui qui l'a côtoyé pendant près de deux ans, au centre héliomarin de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais), n'a jamais été entendu ni par la police ni par les médias. Aujourd'hui, il entend " rétablir certaines vérités", alors que TF1 s'apprête à diffuser un téléfilm lundi, intitulé "Marie Humbert, l'amour d'une mère". "Je veux que l'on dise enfin la vérité sur l'affaire Humbert, même si elle n'est pas belle", insiste le masseur.
Pour rétablir la vérité, Hervé Messager a envoyé un DVD assorti d'une lettre-témoignage aux médias, ainsi qu'aux députés, aux sénateurs et au président de la République. Un DVD financé par SOS Fin de vie, une association catholique qui milite contre l'euthanasie. Interrogé sur ce financement, Hervé Messager a déclaré: "Je m'en fous que ce soit les cathos qui m'aient aidé. (...) Il fallait que je parle", expliquant être "contre l'euthanasie active (...) et l'acharnement thérapeutique".
Selon le masseur, "Vincent était en excellente santé et aurait pu vivre longtemps dans cet état". Hervé Messager explique notamment que Vincent Humbert n'était pas tétraplégique, mais souffrait d'une "double hémiplégie" suite à un accident de voiture, soulignant que dans le cas de cette pathologie, le raisonnement est perturbé. Pour le kiné, cela prouve que le jeune homme n'avait pas toute sa tête en septembre 2002, date à laquelle il a envoyé une lettre au président de la République, demandant le "droit de mourir". "Sa mère disait toujours : ‘Titi, il a toute sa tête'. Elle était en plein déni", explique-t-il. "La veille du geste de sa mère, le 23 septembre, on blaguait encore tous les deux", se souvient Hervé Messager, selon qui "il y a beaucoup de patients qui demandent un jour à mourir". "Alors on discute, on apaise et on n'en entend plus parler pendant six mois", explique-t-il, reconnaissant toutefois que la vie de Vincent Humbert, "c'était pas une vie".
"Il savait ce qu'il disait"
Marie Humbert soutient que son fils avait toutes ses capacités mentales. "Dès le début, certains ont mis en cause la santé mentale de Titi. (...) Ce n'est pas un argument nouveau. Les scientifiques [du Comité consultatif national d'éthique, consulté par Jacques Chirac, ndlr] ont conclu qu'il était en pleine possession de ses facultés mentales", explique-t-elle avant de conclure : "Lorsqu'il me disait qu'il voulait mourir, il savait ce qu'il disait."
Hervé Messager reproche à la mère de Vincent Humbert d'avoir exagéré l'état de santé de son fils, afin de justifier l'euthanasie, alors même que, selon lui, c'était elle qui n'en pouvait plus. Ainsi, selon le kiné, "Vincent n'était pas aveugle" et pouvait regarder la télévision. "C'est faux, répond Marie Humbert, pendant deux ans, il n'a rien pu voir car il avait les yeux cousus (...) En aucun cas il ne pouvait regarder la télé".
Le kiné regrette que Marie Humbert ait bénéficié d'un non-lieu en février 2007. "Pour moi, il n'y a pas de non-lieu. Il y a lieu", estime-t-il. Marie Humbert pense, elle, que "certains ont peur du film qui sera diffusé lundi. C'est pour cela qu'ils montent au créneau." Une allusion aux associations catholiques anti-euthanasie, qui craignent une légalisation de la pratique. De son côté, Me Viguier, l'avocat de la mère de Vincent Humbert au moment des faits, juge que le témoignage du kiné n'apporte "aucun élément constitutif nouveau". "Ce monsieur a le droit de penser que Vincent Humbert n'était pas totalement lucide quand il demandait à mourir, il a le droit de penser et même de dire que la charge était trop lourde pour Marie Humbert, et que son fils a demandé à mourir pour la libérer", ajouté-t-il.
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Retour sur l'histoire de Vincent Humbert
04/12/2007 22:00
L'aider à mourir
La mort de Vincent "est programmée maintenant. C'est moi qui vais l'aider à mourir". Marie Humbert a annoncé mardi 23 septembre 2003, dans Le Parisien, l'euthanasie prochaine de son plus jeune fils. Un acte mûrement réfléchi et préparé "depuis des mois", indique-t-elle. "Je vais l'aider parce que personne n'a le courage de le faire et parce que c'est sa demande", insiste-t-elle.
Ce mercredi 24 septembre 2003, la mère de Vincent Humbert, 22 ans, devenu tétraplégique, aveugle et muet à la suite d'un accident de voiture, a été interpellée, après lui avoir administré, à sa demande, une dose de substance barbiturique.
La garde à vue de Marie Humbert a été levée jeudi 25 septembre dans l'après-midi.
"Ce livre, je ne le lirai jamais de mon vivant (...) car je suis mort depuis le 24 septembre 2000 peu après 20 h sur une route départementale de l'Eure", écrit Vincent Humbert dans les premières pages de son livre-testament.
Intitulé Je vous demande de mourir, ce recueil, qui paraît jeudi 26 septembre 2003, témoigne de la souffrance du jeune tétraplégique qui ne veut plus de "cette vie".
C'est le journaliste Frédéric Veille qui a recueilli les propos de Vincent et élaboré le texte. "J'ai longtemps hésité (...) puis j'ai relevé le défi. Pour lui, pour moi. Car ce gosse m'a ému", explique-t-il dans la préface.
Lors de son accident Vincent a perdu, entre autres, la faculté de parler et pour communiquer avec reporter, il enfonçait son pouce dans la paume du journaliste qui lui dictait l'alphabet.
Le 30 novembre 2002, depuis son lit de l'hôpital de Berck-sur-Mer, Vincent avait demandé au président de la République le droit de mourir, en vain. La loi française n'autorise pas l'euthanasie. Par son livre, Vincent souhaite relancer le débat.
Une pratique autorisée aux Pays-Bas et en Belgique
La majorité des pays européens considère la pratique de l'euthanasie comme un crime.
En France, elle est strictement interdite et assimilée à un meurtre, un assassinat (euthanasie active) ou une non-assistance à personne en danger (euthanasie passive).
En Grande-Bretagne, la forme active et l'aide au suicide sont assimilées à un meurtre. En Allemagne, le sujet est tabou.
Les Pays-Bas sont les premiers au monde, depuis avril 2001, à avoir adopté une législation libéralisant l'euthanasie. Les médecins néerlandais peuvent interrompre la vie d'un patient à la demande de celui-ci ou l'aider à se suicider, à condition de respecter des critères fixés par la loi et de signaler la mort à une commission de contrôle.
En Belgique, la loi énumère une série de conditions : le patient doit se trouver "dans une situation médicale sans issue" et doit faire état "d'une souffrance physique ou psychique constante ou insupportable" résultant d'une "affection accidentelle ou pathologique, grave et incurable".
En Suisse, le patient bénéficie du droit à l'autodétermination pour accepter ou refuser un traitement, même si, ce faisant, il hâte sa mort. Dans les faits, seule une association, Exit ADMD, très active dans le débat sur l'assistance au décès, apporte une aide au suicide. Elle s'appuie sur l'article 115 du Code pénal helvétique, qui autorise l'"assistance, médicale ou non médicale, au suicide en l'absence de mobile égoïste".
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L'HISTOIRE DE VINCENT HUMBERT
04/12/2007 21:58
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J'ai vu ce téléfilm hier et je suis profondément toucher, admirative devant la force et le courage de Vincent. Sa mère aussi qui s'est battue jusqu'au...
anonyme - 04/12/2007
le plus bel amour qui puisse exister!
ce film est tres dur mais en meme temps tres beau, je suis tres emue et etant maman je me demande quel serais notre reaction devant cette dur realitee....
anonyme - 04/12/2007
L'amour d'une mere ou le don de la vie ou de la retirer...
Tres touché par cette histoire vrai dont moi même, si je devais me contenter de vivre ainsi dans un enfer interieur, il me viendrai à l'idée sans nul doute...
anonyme - 04/12/2007